28 août 2007
vertical TR5
C’est bébé qui est contente
Ma poupée qui m’a quitté
Avant même que je ne sente
Qu’elle ne m’aimait qu’à moitié
Le prix à payer chaque soir
La mise en place du train
Ma voix qui voudrait s’asseoir
Encore debout au matin
Oh la nuit est amère
L’amour avale ce chant
Vibre au son du fer
Pincé de vaches vêlant
Une petite étoile acide
Sous la langue du taureau
Dans ce champ de coquelicots
Une poursuite torride
A la dette des rêves
S’ajoutent les wagons
Les cris de ma raison
Ah que mon soleil se lève
Que ma queue se dresse
Dompte ma cécité
Et pour la fleur rosée
Accroît son adresse
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